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Date de création : 10.11.2008
Dernière mise à jour : 11.04.2022
119 articles


Macron et Pfizer

Publié le 11/04/2022 à 17:45 par ardaya Tags : cadre prix sur france monde coup chez enfants société histoire 2010

Macron & Pfizer : une longue et sulfureuse histoire

Entre 2008 et 2012, le jeune Emmanuel Macron a travaillé comme banquier d’affaires chez Rothschild & Cie et il a conclu cette séquence en gérant brillamment la vente de la division nutrition de Pfizer à Nestlé. Il s’agissait d’une des plus grosses négociations de l’année 2012, autour de 9 milliards d’euros. Mais plusieurs interrogations ont surgi à propos de cet épisode et du récit qu’il en a fait.

La première interrogation concerne le patrimoine déclaré par Emmanuel Macron après un tel fait d’armes. Elle est posée dans l’intéressant documentaire « Où sont passés les millions ? » (en sélection ci-dessous). Quand Emmanuel Macron, nommé ministre à l’été 2014, remplit sa déclaration de patrimoine (9’54), il y affirme n'être pas « soumis à l’ISF » (15’24). Il sera redressé par le fisc deux ans plus tard pour minoration de patrimoine (17’40) et obligé de verser 6.000 € au titre de l’ISF. Mais le documentaire pose trois autres questions plus embarrassantes : 1°/ Comment expliquer le fait qu’après avoir eu des revenus de près de 3 M€ chez Rothschild, Emmanuel Macron apparaît comme l'un des plus pauvres de la présidentielle 2017 (30’50), et ne déclare que 156.000 € de patrimoine en 2014 et 309.655 € en 2017 ? - 2°/ Comment se fait-il que les 350.000 ou 500.000 € qu’il dit avoir prêtés à son épouse Brigitte n'apparaissent nulle part dans sa déclaration (23’22), pourquoi n'en donne-t-il aucune explication circonstanciée (38’21) et s’agit-il d’un « montage fiscal », d’une « triche » (25’37) et d’un « mensonge » comme l’affirment les avocats Hervé Martin et Jean-Philippe Delsol (27’49) ? - 3°/ Enfin, comment expliquer le fait qu’après avoir réalisé un « deal » énorme avec Pfizer, il ne déclare que 720.000 € en 2012 (49’05) ?

« Personne de sérieux n’a cru ce truc. C’est n’importe quoi », avance l’un de ses anciens collègues de Rothschild (49’54). Tous les avis professionnels convergent : « peu crédible », « histoire pour endormir les enfants le soir », « du pipeau », « une rémunération de l’ordre de 5 à 10 millions aurait été quelque chose de minimum » (50’25). Où trouver l’explication d’un tel décalage entre la déclaration et la norme ? L’enquête envisage un versement à un trust à l’étranger, dans le cadre d’un montage qui aurait été couvert par les services fiscaux français (51’00-54’15). Impossible toutefois de le prouver formellement, à cause des blocages du système très opaque des rescrits fiscaux. Mais une question aussi grave peut-elle rester sans réponse ?

La deuxième interrogation clé concerne les liens anciens entre Pfizer et Emmanuel Macron. Elle est d’une actualité brûlante avec les problèmes soulevés par la gestion de la crise sanitaire, notamment par les liens entre le cabinet de conseil McKinsey et l’entreprise pharmaceutique Pfizer (cf. LSDJ 1551). Le documentaire explique comment Emmanuel Macron a permis à Pfizer d’empocher un bonus de 600 M€ en persuadant les dirigeants de Nestlé, qu’il avait connus dans la commission Attali en 2007, de surenchérir sur l’offre de Danone (42’07). Un véritable « coup de maître » réalisé en très peu de temps, dans une négociation éclair, comme Emmanuel Macron l’aurait confié à un proche : « J’ai le week-end pour convaincre Nestlé de remonter le prix et si j’y arrive, je suis riche » (43’51).

Depuis 2010, Emmanuel Macron connaissait donc très bien cette société particulière qu’est Pfizer, qui venait de faire la « une » des médias avec sa condamnation en 2009 à une amende record de 2,3 milliards de dollars pour charlatanisme. Il ne s’agissait d'ailleurs pas d’une erreur isolée, mais presque d’une routine pour cette entreprise pharmaceutique : Pfizer a été condamnée à 30 M$ en 2000, 49 M$ en 2002, 190 M$ en 2004, 430 M$ en 2005, 124 M$ en 2006, 60 M$ en 2007, 331 M$ en 2008, 42,5 M$ en 2010, 42,9 M$ en 2011, 55 M$ en 2012, 257 M$ en 2013, 490 M$ en 2014, 35 M$ en 2015, 371 M$ en 2016, 784 M$ en 2017 et 41 M$ en 2019. Selon Wikipedia : « Entre 1995 et 2009, 40 cas d'inconduite ont été portés devant les tribunaux. Un total de 6,171 milliards de $ d'amendes a été acquitté ». Mais ce géant du « Big Pharma » a de quoi se défendre avec les budgets record de lobbying de cette industrie (300 M$ en 2020, 1500 lobbyistes rien qu’ à Washington). À la fin, seul compte le résultat. C’est du big business, où toute morale est absente. Est-il donc raisonnable de faire confiance à cette industrie, réputée la plus corrompue au monde ?

C’est pourtant à ces délinquants multirécidivistes qu’Emmanuel Macron a confié en exclusivité la solution de la crise du Covid19 en France. Rien n’a été fait en prévention du virus (vitamines D3 et C, zinc, etc.), tous les traitements ont invariablement été disqualifiés ou interdits (hydroxychloroquineIvermectineXenothera, etc.), tous les autres vaccins ont été mis sur la touche, les effets secondaires de la vaccination systématiquement minorés ou ignorés, et les énormes conflits d’intérêts négligés. L'ensemble est couvert par un autre système opaque de contrats secrets, avec un « conseil de défense sanitaire » dont les délibérations sont classées « secret défense » et à l'issue desquelles Emmanuel Macron décide tout tout seul. Résultat pour Pfizer, « profiteur de pandémie » : des bénéfices record avec la diffusion massive de son vaccin qui se révèle « un des produits pharmaceutiques les plus lucratifs de l’histoire ». 

Jusqu'où Macron peut-il jouer...

Publié le 17/03/2022 à 13:38 par ardaya Tags : sur france place presse sourire cadre carte

Jusqu'où Macron peut-il jouer avec la peur aux français

Tandis que ses adversaires stagnent ou régressent dans les intentions de vote, Emmanuel Macron progresse : 33,5% selon une étude Elabe pour BFMTV et L'Express, publiée le 8 mars. En deuxième position, Marine Le Pen recule à 15% (-2). Derrière elle surgit Jean-Luc Mélenchon à 13% (+0,5) : c’est la première fois que le chef de La France insoumise est donné à la troisième place dans cette présidentielle. Alors qu’ils rivalisaient encore avec Marine Le Pen il y a quelques semaines pour se qualifier au second tour, Éric Zemmour (11%, -3) et Valérie Pécresse (10,5%, -1,5) régressent et se retrouvent respectivement en quatrième et en cinquième positions. Et ce n'est pas le débat calamiteux – une vraie foire d’empoigne ! – qui les a opposés le 10 mars sur TF1/LCI qui les fera progresser. Le grand rassemblement que Zemmour tiendra le 27 mars au Trocadéro sera vraisemblablement un succès, comme les précédents, mais le meeting de François Fillon le 5 mars 2017 fut lui aussi triomphal. On connaît la suite…

Après la tétanie qui a saisi nombre de Français avec le Covid, le conflit russo-ukrainien les met groggy. « Je vous protégerai », assure le président de la République, « chef des armées », voire « père de la nation ». Il faudrait toutefois qu’il n’abuse pas de cette posture : la mise en scène de Versailles, où il recevait en grandes pompes, le 10 mars, les chefs d’État et de gouvernement des pays de l’Union européenne, a donné lieu à des scènes trop ostentatoires dans le contexte dramatique de la guerre. Emmanuel Macron s’y est montré tout sourire, voire « jubilant » (RMC/BFMPTV) comme s’il accueillait à un mariage ou au festival de Cannes, a souligné l'enseignante Barbara Lefebvre sur le plateau des « Grandes Gueules », le 11 mars. De la pure « com. », selon elle : « La diplomatie en général, ça se fait en coulisses. Il me semble aussi qu'elle doit être discrète… ». En outre, toujours à Versailles, deux déclarations du chef de l’État ont fracassé le mur du principe de non-contradiction à quelques secondes d’intervalle : « Je suis inquiet », a déclaré Emmanuel Macron à l’intention de la presse française. Puis, en anglais, à l’intention de la presse étrangère : « Je suis profondément optimiste ». Apothéose du fameux « en même temps » ! Finalement, cette réception grandiose sous les ors de la monarchie a accouché de la lointaine promesse de liens plus étroits avec l’Ukraine à l’exclusion de toute adhésion rapide de ce pays à l'Union européenne.

Les Français sont-ils dupes ? S’ils sont majoritairement convaincus que le match de la présidentielle est « plié », ils ne sont pas une majorité à s’en réjouir. « Beaucoup de gens, même s’ils pensent qu’il a fait le job, ne veulent pas voter pour lui » avertit Bruno Cautrès, chercheur au CNRS et au Cevipof (20 minutes, 3 mars). Quant à la perspective de plus en plus menaçante d’un nouveau duel Macron/Le Pen au second tour, elle les démoralise : selon un sondage réalisé du 5 au 8 février par l'Ifop pour Le Figaro (9 février), « 67% des Français prévoient un second tour similaire à celui de 2017 pour la présidentielle. S'ils déplorent ce duel annoncé, les sondés peinent à identifier dans les oppositions des candidats susceptibles de l'empêcher. » Il reste qu’à un mois du premier tour, un retournement de la situation nationale ou internationale peut rebattre les cartes.

Après l’élection présidentielle, il faudra de toute façon sortir de la gouvernance de crises pour aborder les questions laissées en suspens et même en souffrance. Avec quel gouvernement ? À cet égard, les élections législatives s’annoncent plus passionnantes que la présidentielle. Avec ce bémol, toutefois : pour la droite, largement majoritaire dans le pays mais en pleine décomposition, le premier tour de la présidentielle est crucial. Même si Valérie Pécresse et son rival Eric Zemmour étaient tous deux éliminés à l’issue du premier tour, leur classement pèsera lourd, estime Guillaume Tabard (Le Figaro, en lien ci-dessous) : « Comme s’ils avaient renoncé à rattraper Macron et même Le Pen, les candidats de LR et de Reconquête ! sont conscients que l’ordre d’arrivée dictera l’avenir de la droite. Pécresse devant Zemmour, LR peut espérer encore jouer une carte, et pourquoi pas dans le cadre d’une alliance avec Macron. Zemmour devant Pécresse c’est l’explosion de la droite et la recomposition assurée. Pour l’heure, même après ce débat, ils restent à égalité. »

Problème

Publié le 26/02/2022 à 14:25 par ardaya
Bonjour les amis. Actuellement pas beaucoup là, car problème d'ordinateur et de box. En espérant que ce soit vite réparé et revenir. Bonne journée à vous tous.

Problème

Publié le 26/02/2022 à 14:25 par ardaya
Bonjour les amis. Actuellement pas beaucoup là, car problème d'ordinateur et de box. En espérant que ce soit vite réparé et revenir. Bonne journée à vous tous.

Crédit social Chinois?

Publié le 07/02/2022 à 21:00 par ardaya Tags : sur moi monde enfant société place

Souvent, la vérité sortait de la bouche de ce grand enfant, Coluche (1944-1986), dont les sérieuses plaisanteries élevaient si bien les consciences qu’elles lui firent pousser des ailes élyséennes. Trois ans avant sa candidature, l’humoriste se fendait du sketch Moi ça va (1977) dont voici une lumineuse réplique : « Il est très gentil le président de la république. Parce qu'il nous laisse des libertés, et tout le monde sait très que s’il nous les retirait... personne ne dirait rien ! » Cette prophétie se réalise-t-elle avec le pass vaccinal, obligatoire depuis le 24 janvier pour les personnes de 16 ans et plus dans les lieux accueillant du public ? Personne ne dit rien ou presque. En le validant le 21 janvier, le Conseil constitutionnel infligea un Waterloo à l’État de droit. Pourtant, quelques jours plus tôt, Laurent Fabius invitait chacun « au seuil d'échéances électorales majeures à bien mesurer ce qu’il est véritablement », estimant que son institution était menacée par Éric Zemmour...

Laurent Fabius fit valoir que le pass vaccinal « porte atteinte aux libertés mais [qu’] en raison du contexte, le gouvernement [n’avait] pas commis d’erreur manifeste ». Les « sages » demandèrent simplement « que ce pass [eût] une durée limitée ». Mais que vaut cette demande si elle n’est assortie d’aucune condition ? Le pass sanitaire européen pourrait être prolongé d’un an, jusqu'en juin 2023. Sur la foi de quoi peut-on juger du caractère « limité » ? Dans leur arrêt du 5 août sur le pass sanitaire, le Conseil reconnaissait déjà le caractère attentatoire aux libertés fondamentales mais, là aussi, en nuançait la portée en vertu de « l’objectif de valeur constitutionnelle de protection de la santé ».

Ces épisodes inspirent deux remarques : la première vise la compétence. Comment le « gardien des libertés » peut-il savoir que le pass est proportionné à la situation épidémique ? Le Conseil dit lui-même se prononcer « en l'état des connaissances scientifiques dont il disposait ». En quoi celles-ci justifiaient-elles de violer la Constitution ?

La seconde remarque touche à la protection. Les « sages » l’érigent en « valeur constitutionnelle », alors que ce concept ne saurait servir de passe-droit. C’est ici que s’impose un parallèle avec le crédit social chinois dans lequel l’État accorde au citoyen un capital de points qui peut être bonifié ou dégradé.

Chercheur à l’institut Thomas More, Cyrille Dalmont analyse le déploiement des outils de surveillance numérique dans nos démocraties occidentales. « Initialement, dit-ilce "système de confiance en la société" prit forme dans les années 2000 à la demande des États-Unis ». Il s’agissait de noter des entreprises chinoises pour protéger et « faciliter les investissements étrangers ». Puis le système s’étendit à « l’idée d’une évaluation de la solvabilité des citoyens » afin de protéger les créanciers.

Dalmont note que la Chine ne prévoyait « absolument pas le traçage des citoyens ni le contrôle des populations ». C’est plus tard que le régime lança un programme de « sensibilisation à l’intégrité et à la crédibilité au sein de la société » (2014-2020) pour aboutir à un scoring comportemental reposant sur « l’honnêteté dans les affaires du gouvernement »« l’intégrité commerciale »« l’intégrité sociétale » et « une justice crédible ».

La protection est l'alibi et la matrice de la techno-dictature. C’est une morale d’État pour des États sans morale. Il s’agit de protéger la société – en fait le régime – en faisant passer les devoirs qu’il impose avant les droits qu’il concède.

Dans Le Monde, un autre chercheur de l’Institut Thomas More, Emmanuel Dubois de Prisque, fait remonter ce système « à la tradition confucéenne » voulant « "civiliser" la société chinoise et augmenter le niveau de vertu des citoyens ». La Chine, toutefois, n’est pas la Suisse. « La citoyenneté, ajoute-t-il, n’obéit pas à une logique universalisante comme en Occident ». Pour Séverine Arsène (IFRI), le crédit social « puise dans la manie de notation du régime communiste [qui] tient des dossiers secrets (dang’an) sur chaque citoyen ».

Le pass nous fait basculer d’un État de droit à un régime d’autorisation préalable. Qu'en conclut le Conseil constitutionnel ? Les citoyens sont déjà notés, selon que leur schéma vaccinal est complet, incomplet ou nul. Une gouvernance automatisée s’instaure aux dépens des checks and balances (« freins et contrepoids ») propre aux institutions démocratiques.

Le silence ne date pas d'hier. Le pass s’abreuve à deux sources : le permis à points, prototype du crédit social, « mis en place dans les années 2000 par les villes chinoises pour sélectionner les candidats à l’intégration urbaine », rappelle Le Monde. Et la lutte anti-terroriste, déjà ancienne, dont la doctrine consiste à surveiller tout le monde pour chasser quelques-uns.

Bronner?

Publié le 28/01/2022 à 17:45 par ardaya Tags : sur vie chez société

Consensus vs complotisme : le rapport Bronner s'attaque à la désinformation en ligne

 

Le 11 janvier, la commission Bronner sur la désinformation et le complotisme remit son rapport au président Emmanuel Macron. Ce groupe de 14 experts, piloté par le spécialiste de sociologie cognitive Gérald Bronner, était chargé « d’établir (…) l’état des connaissances sur les désordres informationnels à l’ère numérique et sur les perturbations de la vie démocratique qu’ils engendrent et, deuxièmement, de proposer des recommandations pour y faire face ».

Cette réflexion s’intitule Les Lumières à l’ère numérique. Le titre étonne par son anachronisme. S’agit-il de faire prendre à Voltaire et Rousseau nos autoroutes de l’information mais que recouvrirait cette initiative fantaisiste et qui pourrait-elle intéresser ? Il s’agit plutôt de faire valoir un postulat idéologique : vu comme le fondement de notre société, ce courant philosophique du XVIIIest présenté comme la seule référence admissible et indépassable. Ce faisant, la commission instaure un clivage : d’un côté, il y a le camp du bien, du progrès et de la rationalité et de l’autre, l’axe du mal, fait de théories du complot, d’obsessions pathologiques et d’intentions de nuire. Ce clivage a quelque chose de gênant car il fleure l’embrigadement et discrédite la démarche scientifique. Comme l’écrit Aliénor Barrière, la commission Bronner ressemble à « une sainte inquisition de Ceux qui Savent : les Sachant contre les opinions "porteuses d’une face sombre" ». Un État peut-il partir en croisade contre des barbares de l’info ou présumés tels ? En tout cas, le rapport lui fournit des recommandations.

Certaines sont recevables, en particulier celles sur les logiques algorithmiques.

De quoi s'agit-il ? Le biais de popularité conduit les algorithmes à privilégier les contenus fournis par les comptes les plus suivis. Dès lors, il faut « permettre aux utilisateurs de mieux se représenter l'état du réseau et la prévalence réelle des opinions en désactivant par défaut les métriques de popularité et l'éditorialisation algorithmique ». 70% des vidéos visionnés sur YouTube « sont regardées en raison de la recommandation de l’intelligence artificielle de la plateforme ». La commission Bronner pointe « la puissance de prescription éditoriale des grands opérateurs du web »L’info sur la toile n’est pas si dérégulée que le public pourrait le penser. Il n'y a pas d'un côté l'information officielle, relayée par les media traditionnels, qui serait fausse ou cadenassée, et de l'autre, celle des francs-tireurs du net qui serait libre et pure de toute arrière-pensée.

Après, le rapport suggère d’« encourager » une surveillance accrue des plus gros influenceurs par les plateformes elles-mêmes « afin de les responsabiliser ». La commission estime qu’il faut veiller à ce que « sur certains sujets fermement établis, le classement algorithmique n'induise pas en erreur le public sur l'état réel des connaissances » et que la visibilité donnée aux contenus reflète le « consensus » scientifique existant. Qu’est-ce qu’un sujet fermement établi à l’ère de la mobilité intellectuelle ? Quant au consensus, s’il prévaut en Corée du nord, est-il compatible avec une société ouverte ? L’antidote au complotisme n'est pas le consensus mais le débat. Celui-ci doit s’exercer de manière honnête, contradictoire, les deux parties devant disposer d’une parité de moyens et d'une exposition équivalente. C’est le refus du débat qui nourrit complotisme.

Le consensus se brise d'ailleurs sur une autre recommandation du rapport, celle sur l'éducation aux media et à l’information. Les experts proposent de faire du développement de l'esprit critique « une grande cause nationale ». Pourquoi pas ? Mais comment faire éclore une pensée qui doute s’il s’agit de promouvoir le consensus imposé d’en haut ? La commission souhaite même « établir une cartographie des difficultés cognitives les plus fréquemment rencontrées chez les élèves » ! 

D’autres recommandations sont d’ordre punitif. La commission veut promouvoir « l'investissement publicitaire responsable »L'épithète est codée : « responsable » signifie « autorisé ». Le but, c'est que la publicité en ligne ne vienne pas financer les sites jugés toxiques. Des listes noires sont déjà établies par NewsGuard, Global Disinformation Index ou Storyzy. Quelle est la légitimité de ces acteurs ? Le rapport désire aussi engager la responsabilité civile d'un internaute diffusant de mauvaise foi une fausse nouvelle préjudiciable, en prenant en compte « le niveau (...) de popularité numérique de son auteur ». 

Le rapport Bronner ne définit pas vraiment le complotisme. Surtout celui d'en haut, émanant des élites et des États. Un seul exemple, pas si vieux que ça : quand les États-Unis affirmèrent à tort et délibérément que Saddam Hussein possédait des armes de destruction massives et qu’il fallait lui faire la guerre pour cette raison, des populations entières subirent les conséquences de ce complotisme-là.

Liibéré, Délivré...

Publié le 28/01/2022 à 17:43 par ardaya Tags : bonne france monde
Un peu partout, la situation vis-à-vis du Covid semble se détendre.

Certes, Omicron est présent et infecte énormément de monde, mais représente 3 fois moins d’entrées en soins critiques que le variant delta1.

Ce qui amène de plus en plus à le considérer comme une sorte de grippe.

D’autant que cette situation de tension et de peur n’a que trop duré !

Pour de nombreux pays européens, il est temps de réapprendre à vivre normalement.

L’histoire retiendra peut-être que la dictature sanitaire a commencé à s’effondrer en ce mois de janvier 2022.
Libéré, délivré…
L’Angleterre a été le premier pays à faire la une pour son abandon des mesures anti-covid. Dès ce jeudi 27 janvier, fini le télétravail, fini le port du masque et le passeport vaccinal2.

Le Danemark souhaite faire de même le 1er février, en levant toutes ses restrictions intérieures, jugeant que la couverture vaccinale de sa population est désormais suffisante3.

Si l’idée est validée, le Danemark deviendrait ainsi le premier pays de l’Union européenne à sauter le pas.

Mais la Suède y songe également, une fois le pic de l’épidémie dépassé4.

En Irlande, une bonne partie des restrictions ont été levées la semaine dernière.

Seules les mesures concernant le port du masque dans les transports et les magasins et les voyages à l’international resteront en vigueur, du moins jusqu’au 28 février, où elles seront rediscutées5.
Omicron, une simple grippe ?
En Espagne, le gouvernement envisage de considérer Omicron comme une maladie endémique, à l’instar de la grippe et choisit de croire en une immunité collective6.

En Suisse, Omicron commence également à être perçu  comme le « début de la fin » de la pandémie7.

Au point que l’on envisage la fin du pass sanitaire.

"La période du certificat semble toucher à sa fin", a déclaré le ministre de la santé Alain Berset la semaine passée.

Un véritable tournant semble donc s’être amorcé partout en Europe.
La vaccination remise en question
Alors que l’Autriche allait être le premier pays européen à imposer la vaccination obligatoire, voilà que des problèmes de mise en œuvre technique vont repousser cette mesure au mois d’avril… Trop tard pour retarder Omicron.

Parallèlement, les experts et les universitaires remettent en question l’efficacité de cette mesure, de plus en plus critiquée8.

En République tchèque, cette même idée a été abandonnée9 tandis qu’en Allemagne les discussions s’annoncent plus que difficiles10.

En plus haute instance, l’OMS a par ailleurs déclaré que « combattre la pandémie de Covid-19 à coups de doses de rappel des vaccins actuels n’est pas une stratégie viable11 ».
Et en France dans tout çà ?
Pas plus tard qu’avant hier, c’est le conseil d’orientation de la stratégie vaccinale qui a remis un avis négatif pour la 4ème dose de vaccins12.

Devant cette déferlante de relâchements un peu partout en Europe, on pourrait s’attendre à ce que la France fasse plus ou moins de même…

Eh bien pas vraiment…

Si les consommations assises, le port du masque à l’extérieur et le télétravail ne seront plus des obligations à la mi-février, le controversé pass vaccinal est quant à lui entré en vigueur ce 24 janvier.

Vaccin ARN

Publié le 16/01/2022 à 14:07 par ardaya Tags : abonné gratuit mort image sur base france monde sport chez dessous internet air divers cadre jeune

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Plus de 25 800 effets secondaires graves ;
  Plus de 1 262 mises en jeu du pronostic vital ;
  Et près de 1 467 morts…

Le tout rien qu’en France en à peine un an !

Arrêt cardiaque, accident vasculaire cérébral (AVC), arythmie (battements irréguliers du cœur), décès devant leur public…

Ces derniers mois, nous assistons à une série terrifiante d'accidents cardiaques chez les sportifs.

Leurs cœurs s'arrêtent, ils dysfonctionnent… 

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Une question urgente se pose : que se passe-t-il ?
  • Ces faits divers sont-ils des cas isolés sans aucun lien avec la vaccination ?
  • Ou bien les vaccins sont-ils la cause d’effets secondaires graves que les autorités cherchent à noyer dans la masse ?
Une chose est sûre, dans le monde du sport de haut niveau l’accumulation de ces accidents cardiaques poussent certains à se poser des questions….

Et cela ne concerne pas que les sportifs !
Les langues commencent à se délier sur les graves effets constatés suite à la vaccination ARN.

Et c’est auprès des laboratoires d'analyse de sang et dans les morgues que de nouvelles informations nous parviennent.

Dans les morgues de plusieurs régions de France, il y aurait une augmentation de décès dans la tranche des 40 et 60 ans1

Il s’agit là d’un constat de terrain fait par des spécialistes de soins de conservation des corps (aussi appelés thanatopracteurs).
Le rôle de ces préparateurs est de “gommer” les stigmates de la mort pour donner au défunt un air apaisé et présenter le corps dignement à la famille. 

Seulement, depuis mars 2021, ces préparateurs témoignent d’un afflux régulier de corps dont le seul stigmate à gommer est un petit pansement rectangulaire… marque d’une vaccination récente.
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Lors de la préparation des corps, voici ce qu’il observe :

« Le sang est très épais, le produit conservateur diffuse très bien dans les artères au début, mais il y a un problème de retour veineux, donc cela met les vaisseaux en pression. Le formol finit pas être bloqué et l'on ne récupère pas autant de sang qu’habituellement. Il y a beaucoup de caillots qui bouchent le trocart. » 

Ajoute-t-il avant de préciser que dans le cadre d’un soin normal, le sang, fluide, coule sans difficulté.

Au détour d’une autre interview, c’est cette fois un chef d'une entreprise de thanatopraxie qui confirme ces morts post-vaccinales et avoue qu’en 15 ans de métier, il n’a « jamais vu ça ».
 

 Ni sur l'augmentation des cas d’infarctus et d’AVC chez de jeunes personnes ; 

 Ni sur la problématique de sang coagulé qui forme une  « gélatine épaisse » qui ne s'écoule pas normalement.


Concrètement, quelques jours après avoir reçu une dose de vaccin, le sang devient si épais que des cœurs s'arrêtent ou dysfonctionnent… 

Et bien que terrifiantes, ces observations de terrain sont confirmées par les chiffres des décès post-vaccinaux.

Déjà 1 467 morts des vaccins en France !?
« Le sujet est tabou. C'est un sujet brûlant » témoigne l’un d’entre eux dans une interview récente au Journal France Soir2  avant d’ajouter que lui même et beaucoup de ses confrères observent :

« De plus en plus d’AVC, d’infarctus et de morts inexpliquées chez des sujets âgés de 40 à 60 ans. »

Mais au-delà des preuves d’une vaccination récente observée sur les corps, les préparateurs font une autre découverte inattendue.
Du sang coagulé formant une "gélatine épaisse"
au lieu d’un sang fluide !

En France, ce sont les centres de pharmacovigilance qui sont chargés de recenser les effets secondaires des vaccins anti COVID-19.

Si l’on additionne les conséquences graves, pour chacun des 4 vaccins3 4 5 6.

On parvient au tableau ci-dessous qui livre le constat de : 

  • Plus de 25 861 effets secondaires graves ;
  • Plus de 1 262 mises en jeu du pronostic vital (en cours) ;
  • … Et 1 467 morts !

Le tout en un peu moins d’un an7 (chiffres de janvier à novembre 2021).

 

Au-delà des décès, le chiffre de 25 851 effets graves fait froid dans le dos.

Parmi ces accidents post-vaccinaux, on retrouve les myocardites, les péricardites et les accidents vasculaires cérébraux (AVC)...

Série dramatique de problèmes cardiaques Après avoir reçu une dose de vaccin à ARN, des cœurs s'arrêtent ou dysfonctionnent…

Voilà ce que l’on découvre en 5 minutes de recherche sur internet des cas d’effets secondaires avérés en France :


 un Français de 34 ans, recordman du monde d’apnée, diagnostiqué avec une myocardite et une péricardite après sa vaccination Pfizer8 ;

 un jeune garçon de 18 ans qui entre en réanimation à Narbonne quelque jour après avoir reçu une première dose de vaccin Pfizer9 ;

 à 16 ans, un adolescent de Haute-Garonne a été pris de malaises cardiaques après sa première injection Pfizer. “C’était comme si on m'enfonçait des épines dans le coeur”10 ;

 trois jours après sa deuxième dose du vaccin Pfizer, un ado de 15 ans et demi a fait un malaise et a été hospitalisé11 ;

 un surveillant pénitentiaire de 54 ans, en service à l'hôpital de la prison de Fresnes, est décédé subitement quatre jours après l'injection de sa deuxième dose de Moderna12.


Il ne m’en fallait pas plus pour démarrer une enquête sur les liens potentiels entre les vaccins anti COVID-19 et l’apparente flambée “d’incidents” cardiovasculaires.

Mes conclusions sont formelles. 

En 2021, les cas d’atteintes cardiaques post-vaccinales ont flambé en Europe.

Voici les chiffres officiels que j’ai réussi à me procurer. 

Déjà 1 467 morts des vaccins en France !?

Graphique issu de la base de données EudraVigilance : le réseau européen de traitement, notification et d'évaluation des effets indésirables13


Depuis le lancement de la vaccination de masse, on enregistre plus de de 15 654 péricardites et myocardites sur les territoires européens.

Ces résultats sont extrêmement inquiétants.

Disons-le franchement, PERSONNE ne souhaite faire partie de ces statistiques.

Mais je ne me fais pas d’illusion : le pass vaccinal est là.

Nous sommes obligés de nous faire vacciner pour garder un semblant de liberté…

Alors voici la seule proposition que je puisse vous faire.

Quitte à tendre le bras, autant préparer son corps pour limiter les risques !

Si vous avez des fragilités cardiovasculaires ET que vous vous apprêtez à recevoir une dose de vaccin…

Il est indispensable de se préparer, et de surtout de préparer votre cœur à affronter ces effets secondaires malheureusement pas si rares.

Or le gouvernement ne propose RIEN pour préparer le corps avant et après ces injections nouvelle génération.

Pire, il nie le problème ! Pour les personnes les plus fragiles, c’est un abandon !

Comme bon nombre de Français, je fais partie de ces personnes…

J’ai dans ma famille un terrain génétique propice à des problèmes cardiaques.

De nombreux proches sont doubles vaccinés et s'apprêtent à faire leur 3ème dose.

D’autres n’en ont encore reçu aucune.

Et lorsque je leur ai fait part de ces résultats, ils se sont sentis pris au piège.


 

Prenez soin de vous,


 
 

A lire.

Publié le 16/01/2022 à 13:41 par ardaya Tags : sur base bonne moi monde chez travail mort image carte france homme vie

 

Le Professeur Raoult commence déjà par une bonne nouvelle !

Certes, Omicron est plus virulent que Delta et se propage extrêmement rapidement, mais on assiste à une diminution de la mortalité de manière globale.

Une bonne nouvelle, qui n’est pas due aux campagnes massives de vaccination:

“La protection vis-à-vis de Delta n’était pas exceptionnelle, mais vis-à-vis d’Omicron, elle est encore moins bonne. Les cas sont aussi symptomatiques chez les vaccinés que les non vaccinés, c’est la même proportion. Et les charges virales, c’est-à-dire le nombre de virus qu’ils portent, sont aussi importantes qu’ils soient vaccinés ou non vaccinés.”

Le Professeur tient en effet à rappeler que si le vaccin offrait une protection, avant Omicron, celle-ci n’a pour autant jamais été totale comme auraient voulu le faire croire certaines propagandes…
 
“Le vaccin n’est pas magique du tout.”

Si le vaccin commençait déjà à montrer des failles dans son efficacité avant Omicron, celà est devenu d’autant plus flagrant aujourd’hui.
 
“Ce que l’on voit actuellement à l’IHU, parmi les personnes qui se présentent chez nous, c’est que le pourcentage de positifs est comparable chez les vaccinés et les non vaccinés.”

Et la question du Pr Raoult est tout ce qu’il y a de plus logique : 

Comment juger que le vaccin protège contre la mort si les gens ne meurent plus du tout ?
En finir avec les fausses croyances…
Le Professeur appelle donc à en finir avec les fausses croyances :
 
“L’idée que quelqu’un qui est vacciné et positif est moins dangereux que quelqu’un qui n’est pas vacciné et pas positif relève du conte de fées. Ce n’est pas vrai.”
 
“Si vous voulez vraiment éviter la contagion, il faut éviter que les gens soient porteurs du virus. Ce n’est pas le vaccin, et de moins en moins, qui vous met à l’abri du portage du virus.”
 
Pourtant, partout dans le monde, le mal semble être fait…
Les vaccins, nouvelle religion mondiale !
Avec le clivage de la population en deux camps, vaccinés ou non vaccinés, la question sur toutes les bouches est devenue “êtes-vous pour ou contre les vaccins ?”

Mais comme le souligne le Professeur, cela n’est pas possible d’être en faveur de tous les vaccins, comme il n’est pas possible de nier l’efficacité de tous les vaccins !

Pire encore, aucune donnée scientifique ne justifie le déferlement de haine et de discrimination que l’on voit un peu partout contre les non vaccinés.
 
"Tout le discours haineux que l’on entend, cela veut dire que ces gens ont basculé dans l’idéologie, ont abandonné la connaissance qui change, qui évolue avec le temps et dont on doit tenir compte.”

En d’autres termes, la pro-vaccination a basculé du fait scientifique à la religion fermée à toute discussion.

Pas plus loin que cette semaine, alors que je me baladais en ville, j’ai moi-même été témoin de cette haine.

Au téléphone, une dame d’un certain âge proclamait fièrement :

“Tous ces non vaccinés qui doivent payer leurs frais médicaux, c’est bien fait pour leur …”

Je n’irai pas plus loin, mais la violence de ses propos m’a laissé pantois.

A quel moment la situation a dégénéré au point que ce soit socialement acceptable de se réjouir du malheur d’une partie de ses concitoyens, tout ça pour une question privée de statut vaccinal ?

La suite des propos du Professeur Raoult devrait peut-être faire changer toutes ces personnes haineuses d’avis…
La vaccination, responsable des pics d’épidémie dans le monde ?
Il est désormais reconnu que l’efficacité des vaccins pour réduire les formes graves s’estompe avec le temps et devient progressivement nulle au bout de trois-quatre mois.

C’est bien pour cela que les autorités nous ont vendu l’idée d’un “booster”...

Mais ce dont on ne parle pas, c’est de l’effet du vaccin sur le système immunitaire pendant les deux-trois semaines après l’injection…

Pendant ces premières semaines, les personnes vaccinées sont fragilisées et encore plus susceptibles d’être contaminées par le virus.

Pourtant, selon le Pr Raoult, toutes les études connaissent ce fait mais choisissent de ne pas en tenir compte dans leurs résultats :

“On ne va pas compter ce qui se passe dans les quinze jours qui suivent la vaccination car les gens ne sont pas protégés. Pourtant, il y a beaucoup de cas qui surviennent justement après les injections. Mais ceux-là si vous les enlevez, vous enlevez une partie de l’information qui est très importante.”

Malgré cela, les campagnes de vaccination n’ont jamais été aussi intensives…

“On en est quasiment à 9,5 milliards de doses injectées et pourtant il n’y a jamais eu autant de cas dans le monde. On ne peut pas dire que la vaccination diminue le nombre de cas, ce n’est pas vrai.”

Autrement dit, selon le Professeur, la vaccination aurait augmenté les cas de Covid dans le monde.

Il se lance alors dans une illustration de la situation vaccinale et pandémique dans plusieurs pays du monde, concluant à chaque fois que les campagnes vaccinales massives sont vraisemblablement à l’origine de pics épidémiques sans pareil.

Pour vous, j’ai tâché de refaire ce travail pour vérifier la véracité de ses résultats, et le moins que l’on puisse dire c’est que les conclusions sont aberrantes !

Voici les pays présentés par le Professeur et les résultats que l’on peut observer selon la base de données de l’université américaine Johns Hopkins.
 

bservez bien attentivement les graphiques ci-dessous.


 En rouge, c’est le nombre de cas diagnostiqués ;

 En blanc c’est le nombre de décès ;

 Et en vert c’est les doses vaccinales injectées.

Depuis le début de la vaccination, il y a eu 9,546 milliards de doses vaccinales injectées dans le monde (chiffres annoncés sur le graphique en vert).

Ce qui n’a PAS empêché le nombre de cas diagnostiqués positifs de continuer à grimper comme vous pouvez le voir sur le graphique en rouge.

Le nombre de décès - en blanc -  stagne quant a lui depuis plusieurs mois.

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maintenant regardez bien la carte des contaminations pays par pays.

Coree du Nord

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Australie

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Singapour

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Danemark

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France

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Tous ces pays ont comme point commun d’avoir opté pour de vastes campagnes vaccinales, à hauteur de plusieurs millions de doses administrées…

… et se sont retrouvés avec un nombre de cas positifs n’ayant jamais été aussi élevé depuis le début de la pandémie !

Observons ces résultats à l’échelle du monde 

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Et en vert le nombre de vaccinés…

Le Professeur Raoult a raison… encore !

“Dire que les stratégies vaccinales dans le monde ont permis d’avoir un contrôle de la maladie. Ce n’est pas vrai.”
 
Vers la fin de l’épidémie ?
Pourtant, malgré ce constat affligeant, il y aurait une lumière au bout du tunnel…

“Régulièrement il y a une mutation, un petit changement, qui rend le virus plus efficace et ce virus cause une épidémie.”

“Les mutations ont un rythme tout à fait régulier. En moyenne, il y a une mutation tous les quinze jours sur toutes les branches virales.”

Sauf qu’à force de muter, le virus se “disperse” trop, s’épuise et finit par disparaître…

Autrement dit, passé un certain degré de divergence, une nouvelle branche virale s’arrête d’elle-même…

“Sur chaque branche, au bout de 7-8 mutations, la branche s’arrête.”

Et comme Omicron présentait déjà de base une divergence extraordinaire selon le Professeur et qu’il en est à sa troisième voire quatrième mutation…

… il se pourrait qu’il s’épuise de lui-même d’ici deux mois !

Seul l’avenir nous dira si cette dernière prévision est correcte.
 
Voilà, voilà quelques explications, le Professeur Raoult éminent spécialiste avait raison dès le départ, et puis cela fait des milliards, des millions d'années que l'homme vies avec des virus, bactéries etc... Et nous sommes toujours la,Macron et son GVT , les sénateurs, les députés toutes cette castes politique corrompus depuis des décennies en ont profités contre le peuple, et pire encore pour faire peur, mettre une hystérie, alors qu'ils n'y avaient pas lieu, de faire attention, oui, gestes barrières, avoir les mains propres etc... Ok, mais le restes, non !  Ils ont trahi le peuple, ne nous devront pas oublier au moment venu.!. Les morts, les effets secondaires etc... Ne pas oublier !.

Effets indésirables Pfizer

Publié le 14/01/2022 à 13:57 par ardaya Tags : abonné centre histoire dessous gratuit chez france base image sur

“Il n’y a quasiment pas d’effets secondaires.”

“Il y en a moins qu’avec l’aspirine.”


C’est le genre de propos lunaires que j’entends sur les plateaux télé.

Après lecture approfondie de l’enquête de pharmacologie du vaccin Pfizer (rapport N°19)1, je retrouve à la page 6 :
 

 17’748 effets indésirables graves ;

 et 1’167 décès classés par type (pages 45 à 48).


…le tout en un peu moins d’un an !

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Et NON, ce ne sont pas les chiffres des décès du variant Omicron, mais bien de personnes décédées après avoir reçu le vaccin Pfizer.

Mais c’est dès que l’on creuse un peu les causes de décès que cela devient surprenant.

 

39,5% des vaccinés Pfizer décédés …
 pour cause de “décès” !?

Les 2 principales raisons de décès les voici :


 461 personnes (39,5%) décédés par “décès” ;

 Et 341 personnes (29,2%) décédés “d’infection au SARS Cov2”.


Alors qu’en page 18 il est question de “morts subites ou inexpliquées" et “d’arrêt cardiorespiratoire”...

… 68% des cas de décès chez des vaccinés Pfizer se retrouvent dans des cases beaucoup plus floues en fin de rapport.

De quoi s’interroger sur le manque de transparence !

Surtout quand l’on apprend que 86 % des décès remontés dans la base de données de pharmacovigilance américaine VAERS n'ont pas d'autres explications que la vaccination2.

Je vous l'explique depuis bientôt un mois : c’est du jamais vu dans l'histoire de la vaccination.

Voici une autre manière de vous expliquer le problème :
 

Aux États-Unis, les vaccins contre la grippe ont tué 1 106 personnes en 30 ans.

En six mois, les vaccins contre le COVID-19 en ont tué 6 016 (chiffres datés du 16 juillet 2021) ! 

Donc en 6 mois, la vaccination contre la COVID-19 a tué 5 fois plus de personnes que la vaccination anti-grippe en 30 ans3.

Ces chiffres sont une autre manière de vous confirmer que nous sommes en présence de vaccins dont la dangerosité est INÉDITE.

Et c'est valable pour tous les pays qui publient leurs données de pharmacovigilance.

Au-delà des décès, les rapports comptabilisent un nombre INÉDIT de myocardites, de péricardites et d’accidents vasculaires cérébraux (AVC).

Effroi aux Etats-Unis : 370 fois plus de maladies cardiaques en 2021

Regardez bien ce graphique issu des données officielle VAERS (centre de recensement des effets secondaires vaccinaux aux Etats-Unis)4.

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Il représente tous les cas de myocardites et péricardites signalés depuis 12 ans tous types de vaccins confondus (grippe classique, COVID-19, etc.)5.

Depuis la vaccination contre la COVID-19, ce nombre a explosé.

Entre 2020 et 2021 : il y a 370 fois plus de cas de myocardites et péricardites cardiaques enregistrés !

Un chiffre totalement inédit, puisque l’on passe d’une moyenne annuelle de 60 cas à plus de 22 256 en seulement un an !

J’ai donc regardé comment se portait le nombre de cas de myocardites et péricardites en Europe.

��� Flambée des accidents cardiaques après une injection à l’ARN

Mon enquête est formelle. 

En 2021, les cas d’atteintes cardiaques post-vaccinales ont flambé en Europe.

Voici les chiffres officiels que j’ai réussi à me procurer. 

 

Graphique issu de la base de données EudraVigilance : le réseau européen de traitement, notification et d'évaluation des effets indésirables6


Depuis le lancement de la vaccination de masse, on enregistre plus de de 15 654 péricardites et myocardites sur les territoires européens.

Ces résultats sont extrêmement inquiétants.

Disons-le franchement, PERSONNE ne souhaite faire partie de ces statistiques.

Mais je ne me fais pas d’illusion : le pass vaccinal est là.

Nous sommes obligés de nous faire vacciner pour garder un semblant de liberté…

Alors voici la seule proposition que je puisse vous faire.

Quitte à tendre le bras, autant préparer son corps pour limiter les risques !

Si vous avez des fragilités cardiovasculaires ET que vous vous apprêtez à recevoir une dose de vaccin…

Il est indispensable de se préparer, et de surtout de préparer votre cœur à affronter ces effets secondaires malheureusement pas si rares.

Or le gouvernement ne propose RIEN pour préparer le corps avant et après ces injections nouvelle génération.

Pire, il nie le problème ! Pour les personnes les plus fragiles, c’est un abandon !

Comme bon nombre de Français, je fais partie de ces personnes…

J’ai dans ma famille un terrain génétique propice à des problèmes cardiaques.

De nombreux proches sont doubles vaccinés et s'apprêtent à faire leur 3ème dose.

D’autres n’en ont encore reçu aucune.

Et lorsque je leur ai fait part de ces résultats, ils se sont sentis pris au piège.

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Sources : 
https://ansm.sante.fr/uploads/2021/12/21/20211221-covid-19-vaccins-rapport-pv-pfizer-19-2.pdf
https://www.researchgate.net/publication/352837543_Analysis_of_COVID-19_vaccine_death_reports_from_the_Vaccine_Adverse_Events_Reporting_System_VAERS_Database_Interim_Results_and_Analysis
https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/la-vaccination-covid-lepreuve-des-faits-2eme-partie-une-mortalite-inedite
https://openvaers.com/
https://openvaers.com/covid-data/myo-pericarditis
https://www.ema.europa.eu/en/human-regulatory/research-development/pharmacovigilance/eudravigilance/access-eudravigilance-data