ardaya
des images, mes coups de gueules, et autres....
Signer mon livre d'or Faire connaître mon blog Me contacter par mail Flux RSS
Thèmesabonné air amour animal argent article base belle bleu blog bonne cadre
Rubriques
>> Toutes les rubriques <<
· Animaux (1)
· Histoire (2)
· Humour (0)
· Image (1)
· Image spirituelle (4)
· Mes coups de gueules (6)
· Video (1)
non, ce n'est pas fini. après les élections, si nous n'avons pas viré le dictateur psychopathe, il poursuivr
Par erixbd, le 26.03.2022
je partage ce billet. il est clair, mais je connais bien des gens du peuple qui ne souhaite qu'une chose. v
Par erixbd, le 20.03.2022
si tu veux abattre ton chien... http://erixbd. centerblog.net
Par erixbd, le 26.02.2022
nous ne voulons pas de ce crédit, contrôle total sur nos vies, et nous avons un ultime moyen avant la révol
Par erixbd, le 20.02.2022
bonsoir ardaya, les chinois nous piquent tout et on en redemande .......
bon début se semaine et + à toi
**
Par pat, le 14.02.2022
· Loups garou!!
· La légende du phénix
· les hypocrites, les pleurnichards
· Fausses accusations!!
· Vampire!! Dracula
· le chant des partisans
· revolte d'un cerf!!!
· Une honte, les combats de chien!!!
· Droits des animaux:halte à la chasse et aux chasseurs!!!
· Les chasseurs tuent + d'une personne par ans!!!
· gabriel
· Droits des animaux:halte à la chasse et aux chasseurs!!! 2
· ten plein travail
· Effets secondaire 2, témoignage
· La covid?
· zibou
· marssfarm
· arbracames
· erixbd
· cloee
Date de création : 10.11.2008
Dernière mise à jour :
11.04.2022
119 articles
Macron & Pfizer : une longue et sulfureuse histoire
Entre 2008 et 2012, le jeune Emmanuel Macron a travaillé comme banquier d’affaires chez Rothschild & Cie et il a conclu cette séquence en gérant brillamment la vente de la division nutrition de Pfizer à Nestlé. Il s’agissait d’une des plus grosses négociations de l’année 2012, autour de 9 milliards d’euros. Mais plusieurs interrogations ont surgi à propos de cet épisode et du récit qu’il en a fait.
La première interrogation concerne le patrimoine déclaré par Emmanuel Macron après un tel fait d’armes. Elle est posée dans l’intéressant documentaire « Où sont passés les millions ? » (en sélection ci-dessous). Quand Emmanuel Macron, nommé ministre à l’été 2014, remplit sa déclaration de patrimoine (9’54), il y affirme n'être pas « soumis à l’ISF » (15’24). Il sera redressé par le fisc deux ans plus tard pour minoration de patrimoine (17’40) et obligé de verser 6.000 € au titre de l’ISF. Mais le documentaire pose trois autres questions plus embarrassantes : 1°/ Comment expliquer le fait qu’après avoir eu des revenus de près de 3 M€ chez Rothschild, Emmanuel Macron apparaît comme l'un des plus pauvres de la présidentielle 2017 (30’50), et ne déclare que 156.000 € de patrimoine en 2014 et 309.655 € en 2017 ? - 2°/ Comment se fait-il que les 350.000 ou 500.000 € qu’il dit avoir prêtés à son épouse Brigitte n'apparaissent nulle part dans sa déclaration (23’22), pourquoi n'en donne-t-il aucune explication circonstanciée (38’21) et s’agit-il d’un « montage fiscal », d’une « triche » (25’37) et d’un « mensonge » comme l’affirment les avocats Hervé Martin et Jean-Philippe Delsol (27’49) ? - 3°/ Enfin, comment expliquer le fait qu’après avoir réalisé un « deal » énorme avec Pfizer, il ne déclare que 720.000 € en 2012 (49’05) ?
« Personne de sérieux n’a cru ce truc. C’est n’importe quoi », avance l’un de ses anciens collègues de Rothschild (49’54). Tous les avis professionnels convergent : « peu crédible », « histoire pour endormir les enfants le soir », « du pipeau », « une rémunération de l’ordre de 5 à 10 millions aurait été quelque chose de minimum » (50’25). Où trouver l’explication d’un tel décalage entre la déclaration et la norme ? L’enquête envisage un versement à un trust à l’étranger, dans le cadre d’un montage qui aurait été couvert par les services fiscaux français (51’00-54’15). Impossible toutefois de le prouver formellement, à cause des blocages du système très opaque des rescrits fiscaux. Mais une question aussi grave peut-elle rester sans réponse ?
La deuxième interrogation clé concerne les liens anciens entre Pfizer et Emmanuel Macron. Elle est d’une actualité brûlante avec les problèmes soulevés par la gestion de la crise sanitaire, notamment par les liens entre le cabinet de conseil McKinsey et l’entreprise pharmaceutique Pfizer (cf. LSDJ 1551). Le documentaire explique comment Emmanuel Macron a permis à Pfizer d’empocher un bonus de 600 M€ en persuadant les dirigeants de Nestlé, qu’il avait connus dans la commission Attali en 2007, de surenchérir sur l’offre de Danone (42’07). Un véritable « coup de maître » réalisé en très peu de temps, dans une négociation éclair, comme Emmanuel Macron l’aurait confié à un proche : « J’ai le week-end pour convaincre Nestlé de remonter le prix et si j’y arrive, je suis riche » (43’51).
Depuis 2010, Emmanuel Macron connaissait donc très bien cette société particulière qu’est Pfizer, qui venait de faire la « une » des médias avec sa condamnation en 2009 à une amende record de 2,3 milliards de dollars pour charlatanisme. Il ne s’agissait d'ailleurs pas d’une erreur isolée, mais presque d’une routine pour cette entreprise pharmaceutique : Pfizer a été condamnée à 30 M$ en 2000, 49 M$ en 2002, 190 M$ en 2004, 430 M$ en 2005, 124 M$ en 2006, 60 M$ en 2007, 331 M$ en 2008, 42,5 M$ en 2010, 42,9 M$ en 2011, 55 M$ en 2012, 257 M$ en 2013, 490 M$ en 2014, 35 M$ en 2015, 371 M$ en 2016, 784 M$ en 2017 et 41 M$ en 2019. Selon Wikipedia : « Entre 1995 et 2009, 40 cas d'inconduite ont été portés devant les tribunaux. Un total de 6,171 milliards de $ d'amendes a été acquitté ». Mais ce géant du « Big Pharma » a de quoi se défendre avec les budgets record de lobbying de cette industrie (300 M$ en 2020, 1500 lobbyistes rien qu’ à Washington). À la fin, seul compte le résultat. C’est du big business, où toute morale est absente. Est-il donc raisonnable de faire confiance à cette industrie, réputée la plus corrompue au monde ?
C’est pourtant à ces délinquants multirécidivistes qu’Emmanuel Macron a confié en exclusivité la solution de la crise du Covid19 en France. Rien n’a été fait en prévention du virus (vitamines D3 et C, zinc, etc.), tous les traitements ont invariablement été disqualifiés ou interdits (hydroxychloroquine, Ivermectine, Xenothera, etc.), tous les autres vaccins ont été mis sur la touche, les effets secondaires de la vaccination systématiquement minorés ou ignorés, et les énormes conflits d’intérêts négligés. L'ensemble est couvert par un autre système opaque de contrats secrets, avec un « conseil de défense sanitaire » dont les délibérations sont classées « secret défense » et à l'issue desquelles Emmanuel Macron décide tout tout seul. Résultat pour Pfizer, « profiteur de pandémie » : des bénéfices record avec la diffusion massive de son vaccin qui se révèle « un des produits pharmaceutiques les plus lucratifs de l’histoire ».
Jusqu'où Macron peut-il jouer avec la peur aux français
Tandis que ses adversaires stagnent ou régressent dans les intentions de vote, Emmanuel Macron progresse : 33,5% selon une étude Elabe pour BFMTV et L'Express, publiée le 8 mars. En deuxième position, Marine Le Pen recule à 15% (-2). Derrière elle surgit Jean-Luc Mélenchon à 13% (+0,5) : c’est la première fois que le chef de La France insoumise est donné à la troisième place dans cette présidentielle. Alors qu’ils rivalisaient encore avec Marine Le Pen il y a quelques semaines pour se qualifier au second tour, Éric Zemmour (11%, -3) et Valérie Pécresse (10,5%, -1,5) régressent et se retrouvent respectivement en quatrième et en cinquième positions. Et ce n'est pas le débat calamiteux – une vraie foire d’empoigne ! – qui les a opposés le 10 mars sur TF1/LCI qui les fera progresser. Le grand rassemblement que Zemmour tiendra le 27 mars au Trocadéro sera vraisemblablement un succès, comme les précédents, mais le meeting de François Fillon le 5 mars 2017 fut lui aussi triomphal. On connaît la suite…
Après la tétanie qui a saisi nombre de Français avec le Covid, le conflit russo-ukrainien les met groggy. « Je vous protégerai », assure le président de la République, « chef des armées », voire « père de la nation ». Il faudrait toutefois qu’il n’abuse pas de cette posture : la mise en scène de Versailles, où il recevait en grandes pompes, le 10 mars, les chefs d’État et de gouvernement des pays de l’Union européenne, a donné lieu à des scènes trop ostentatoires dans le contexte dramatique de la guerre. Emmanuel Macron s’y est montré tout sourire, voire « jubilant » (RMC/BFMPTV) comme s’il accueillait à un mariage ou au festival de Cannes, a souligné l'enseignante Barbara Lefebvre sur le plateau des « Grandes Gueules », le 11 mars. De la pure « com. », selon elle : « La diplomatie en général, ça se fait en coulisses. Il me semble aussi qu'elle doit être discrète… ». En outre, toujours à Versailles, deux déclarations du chef de l’État ont fracassé le mur du principe de non-contradiction à quelques secondes d’intervalle : « Je suis inquiet », a déclaré Emmanuel Macron à l’intention de la presse française. Puis, en anglais, à l’intention de la presse étrangère : « Je suis profondément optimiste ». Apothéose du fameux « en même temps » ! Finalement, cette réception grandiose sous les ors de la monarchie a accouché de la lointaine promesse de liens plus étroits avec l’Ukraine à l’exclusion de toute adhésion rapide de ce pays à l'Union européenne.
Les Français sont-ils dupes ? S’ils sont majoritairement convaincus que le match de la présidentielle est « plié », ils ne sont pas une majorité à s’en réjouir. « Beaucoup de gens, même s’ils pensent qu’il a fait le job, ne veulent pas voter pour lui » avertit Bruno Cautrès, chercheur au CNRS et au Cevipof (20 minutes, 3 mars). Quant à la perspective de plus en plus menaçante d’un nouveau duel Macron/Le Pen au second tour, elle les démoralise : selon un sondage réalisé du 5 au 8 février par l'Ifop pour Le Figaro (9 février), « 67% des Français prévoient un second tour similaire à celui de 2017 pour la présidentielle. S'ils déplorent ce duel annoncé, les sondés peinent à identifier dans les oppositions des candidats susceptibles de l'empêcher. » Il reste qu’à un mois du premier tour, un retournement de la situation nationale ou internationale peut rebattre les cartes.
Après l’élection présidentielle, il faudra de toute façon sortir de la gouvernance de crises pour aborder les questions laissées en suspens et même en souffrance. Avec quel gouvernement ? À cet égard, les élections législatives s’annoncent plus passionnantes que la présidentielle. Avec ce bémol, toutefois : pour la droite, largement majoritaire dans le pays mais en pleine décomposition, le premier tour de la présidentielle est crucial. Même si Valérie Pécresse et son rival Eric Zemmour étaient tous deux éliminés à l’issue du premier tour, leur classement pèsera lourd, estime Guillaume Tabard (Le Figaro, en lien ci-dessous) : « Comme s’ils avaient renoncé à rattraper Macron et même Le Pen, les candidats de LR et de Reconquête ! sont conscients que l’ordre d’arrivée dictera l’avenir de la droite. Pécresse devant Zemmour, LR peut espérer encore jouer une carte, et pourquoi pas dans le cadre d’une alliance avec Macron. Zemmour devant Pécresse c’est l’explosion de la droite et la recomposition assurée. Pour l’heure, même après ce débat, ils restent à égalité. »
Souvent, la vérité sortait de la bouche de ce grand enfant, Coluche (1944-1986), dont les sérieuses plaisanteries élevaient si bien les consciences qu’elles lui firent pousser des ailes élyséennes. Trois ans avant sa candidature, l’humoriste se fendait du sketch Moi ça va (1977) dont voici une lumineuse réplique : « Il est très gentil le président de la république. Parce qu'il nous laisse des libertés, et tout le monde sait très que s’il nous les retirait... personne ne dirait rien ! » Cette prophétie se réalise-t-elle avec le pass vaccinal, obligatoire depuis le 24 janvier pour les personnes de 16 ans et plus dans les lieux accueillant du public ? Personne ne dit rien ou presque. En le validant le 21 janvier, le Conseil constitutionnel infligea un Waterloo à l’État de droit. Pourtant, quelques jours plus tôt, Laurent Fabius invitait chacun « au seuil d'échéances électorales majeures à bien mesurer ce qu’il est véritablement », estimant que son institution était menacée par Éric Zemmour...
Laurent Fabius fit valoir que le pass vaccinal « porte atteinte aux libertés mais [qu’] en raison du contexte, le gouvernement [n’avait] pas commis d’erreur manifeste ». Les « sages » demandèrent simplement « que ce pass [eût] une durée limitée ». Mais que vaut cette demande si elle n’est assortie d’aucune condition ? Le pass sanitaire européen pourrait être prolongé d’un an, jusqu'en juin 2023. Sur la foi de quoi peut-on juger du caractère « limité » ? Dans leur arrêt du 5 août sur le pass sanitaire, le Conseil reconnaissait déjà le caractère attentatoire aux libertés fondamentales mais, là aussi, en nuançait la portée en vertu de « l’objectif de valeur constitutionnelle de protection de la santé ».
Ces épisodes inspirent deux remarques : la première vise la compétence. Comment le « gardien des libertés » peut-il savoir que le pass est proportionné à la situation épidémique ? Le Conseil dit lui-même se prononcer « en l'état des connaissances scientifiques dont il disposait ». En quoi celles-ci justifiaient-elles de violer la Constitution ?
La seconde remarque touche à la protection. Les « sages » l’érigent en « valeur constitutionnelle », alors que ce concept ne saurait servir de passe-droit. C’est ici que s’impose un parallèle avec le crédit social chinois dans lequel l’État accorde au citoyen un capital de points qui peut être bonifié ou dégradé.
Chercheur à l’institut Thomas More, Cyrille Dalmont analyse le déploiement des outils de surveillance numérique dans nos démocraties occidentales. « Initialement, dit-il, ce "système de confiance en la société" prit forme dans les années 2000 à la demande des États-Unis ». Il s’agissait de noter des entreprises chinoises pour protéger et « faciliter les investissements étrangers ». Puis le système s’étendit à « l’idée d’une évaluation de la solvabilité des citoyens » afin de protéger les créanciers.
Dalmont note que la Chine ne prévoyait « absolument pas le traçage des citoyens ni le contrôle des populations ». C’est plus tard que le régime lança un programme de « sensibilisation à l’intégrité et à la crédibilité au sein de la société » (2014-2020) pour aboutir à un scoring comportemental reposant sur « l’honnêteté dans les affaires du gouvernement », « l’intégrité commerciale », « l’intégrité sociétale » et « une justice crédible ».
La protection est l'alibi et la matrice de la techno-dictature. C’est une morale d’État pour des États sans morale. Il s’agit de protéger la société – en fait le régime – en faisant passer les devoirs qu’il impose avant les droits qu’il concède.
Dans Le Monde, un autre chercheur de l’Institut Thomas More, Emmanuel Dubois de Prisque, fait remonter ce système « à la tradition confucéenne » voulant « "civiliser" la société chinoise et augmenter le niveau de vertu des citoyens ». La Chine, toutefois, n’est pas la Suisse. « La citoyenneté, ajoute-t-il, n’obéit pas à une logique universalisante comme en Occident ». Pour Séverine Arsène (IFRI), le crédit social « puise dans la manie de notation du régime communiste [qui] tient des dossiers secrets (dang’an) sur chaque citoyen ».
Le pass nous fait basculer d’un État de droit à un régime d’autorisation préalable. Qu'en conclut le Conseil constitutionnel ? Les citoyens sont déjà notés, selon que leur schéma vaccinal est complet, incomplet ou nul. Une gouvernance automatisée s’instaure aux dépens des checks and balances (« freins et contrepoids ») propre aux institutions démocratiques.
Le silence ne date pas d'hier. Le pass s’abreuve à deux sources : le permis à points, prototype du crédit social, « mis en place dans les années 2000 par les villes chinoises pour sélectionner les candidats à l’intégration urbaine », rappelle Le Monde. Et la lutte anti-terroriste, déjà ancienne, dont la doctrine consiste à surveiller tout le monde pour chasser quelques-uns.
Consensus vs complotisme : le rapport Bronner s'attaque à la désinformation en ligne
Le 11 janvier, la commission Bronner sur la désinformation et le complotisme remit son rapport au président Emmanuel Macron. Ce groupe de 14 experts, piloté par le spécialiste de sociologie cognitive Gérald Bronner, était chargé « d’établir (…) l’état des connaissances sur les désordres informationnels à l’ère numérique et sur les perturbations de la vie démocratique qu’ils engendrent et, deuxièmement, de proposer des recommandations pour y faire face ».
Cette réflexion s’intitule Les Lumières à l’ère numérique. Le titre étonne par son anachronisme. S’agit-il de faire prendre à Voltaire et Rousseau nos autoroutes de l’information mais que recouvrirait cette initiative fantaisiste et qui pourrait-elle intéresser ? Il s’agit plutôt de faire valoir un postulat idéologique : vu comme le fondement de notre société, ce courant philosophique du XVIIIe est présenté comme la seule référence admissible et indépassable. Ce faisant, la commission instaure un clivage : d’un côté, il y a le camp du bien, du progrès et de la rationalité et de l’autre, l’axe du mal, fait de théories du complot, d’obsessions pathologiques et d’intentions de nuire. Ce clivage a quelque chose de gênant car il fleure l’embrigadement et discrédite la démarche scientifique. Comme l’écrit Aliénor Barrière, la commission Bronner ressemble à « une sainte inquisition de Ceux qui Savent : les Sachant contre les opinions "porteuses d’une face sombre" ». Un État peut-il partir en croisade contre des barbares de l’info ou présumés tels ? En tout cas, le rapport lui fournit des recommandations.
Certaines sont recevables, en particulier celles sur les logiques algorithmiques.
De quoi s'agit-il ? Le biais de popularité conduit les algorithmes à privilégier les contenus fournis par les comptes les plus suivis. Dès lors, il faut « permettre aux utilisateurs de mieux se représenter l'état du réseau et la prévalence réelle des opinions en désactivant par défaut les métriques de popularité et l'éditorialisation algorithmique ». 70% des vidéos visionnés sur YouTube « sont regardées en raison de la recommandation de l’intelligence artificielle de la plateforme ». La commission Bronner pointe « la puissance de prescription éditoriale des grands opérateurs du web ». L’info sur la toile n’est pas si dérégulée que le public pourrait le penser. Il n'y a pas d'un côté l'information officielle, relayée par les media traditionnels, qui serait fausse ou cadenassée, et de l'autre, celle des francs-tireurs du net qui serait libre et pure de toute arrière-pensée.
Après, le rapport suggère d’« encourager » une surveillance accrue des plus gros influenceurs par les plateformes elles-mêmes « afin de les responsabiliser ». La commission estime qu’il faut veiller à ce que « sur certains sujets fermement établis, le classement algorithmique n'induise pas en erreur le public sur l'état réel des connaissances » et que la visibilité donnée aux contenus reflète le « consensus » scientifique existant. Qu’est-ce qu’un sujet fermement établi à l’ère de la mobilité intellectuelle ? Quant au consensus, s’il prévaut en Corée du nord, est-il compatible avec une société ouverte ? L’antidote au complotisme n'est pas le consensus mais le débat. Celui-ci doit s’exercer de manière honnête, contradictoire, les deux parties devant disposer d’une parité de moyens et d'une exposition équivalente. C’est le refus du débat qui nourrit complotisme.
Le consensus se brise d'ailleurs sur une autre recommandation du rapport, celle sur l'éducation aux media et à l’information. Les experts proposent de faire du développement de l'esprit critique « une grande cause nationale ». Pourquoi pas ? Mais comment faire éclore une pensée qui doute s’il s’agit de promouvoir le consensus imposé d’en haut ? La commission souhaite même « établir une cartographie des difficultés cognitives les plus fréquemment rencontrées chez les élèves » !
D’autres recommandations sont d’ordre punitif. La commission veut promouvoir « l'investissement publicitaire responsable ». L'épithète est codée : « responsable » signifie « autorisé ». Le but, c'est que la publicité en ligne ne vienne pas financer les sites jugés toxiques. Des listes noires sont déjà établies par NewsGuard, Global Disinformation Index ou Storyzy. Quelle est la légitimité de ces acteurs ? Le rapport désire aussi engager la responsabilité civile d'un internaute diffusant de mauvaise foi une fausse nouvelle préjudiciable, en prenant en compte « le niveau (...) de popularité numérique de son auteur ».
Le rapport Bronner ne définit pas vraiment le complotisme. Surtout celui d'en haut, émanant des élites et des États. Un seul exemple, pas si vieux que ça : quand les États-Unis affirmèrent à tort et délibérément que Saddam Hussein possédait des armes de destruction massives et qu’il fallait lui faire la guerre pour cette raison, des populations entières subirent les conséquences de ce complotisme-là.

Plus de 25 800 effets secondaires graves ;
Plus de 1 262 mises en jeu du pronostic vital ;
Et près de 1 467 morts…
Le tout rien qu’en France en à peine un an !
Arrêt cardiaque, accident vasculaire cérébral (AVC), arythmie (battements irréguliers du cœur), décès devant leur public…
Ces derniers mois, nous assistons à une série terrifiante d'accidents cardiaques chez les sportifs.
Leurs cœurs s'arrêtent, ils dysfonctionnent…

Les langues commencent à se délier sur les graves effets constatés suite à la vaccination ARN. Et c’est auprès des laboratoires d'analyse de sang et dans les morgues que de nouvelles informations nous parviennent. Dans les morgues de plusieurs régions de France, il y aurait une augmentation de décès dans la tranche des 40 et 60 ans1. Il s’agit là d’un constat de terrain fait par des spécialistes de soins de conservation des corps (aussi appelés thanatopracteurs). |
|
|
bservez bien attentivement les graphiques ci-dessous.
|
|
“Il n’y a quasiment pas d’effets secondaires.”
“Il y en a moins qu’avec l’aspirine.”
C’est le genre de propos lunaires que j’entends sur les plateaux télé.
Après lecture approfondie de l’enquête de pharmacologie du vaccin Pfizer (rapport N°19)1, je retrouve à la page 6 :
17’748 effets indésirables graves ;
et 1’167 décès classés par type (pages 45 à 48).
…le tout en un peu moins d’un an !

Et NON, ce ne sont pas les chiffres des décès du variant Omicron, mais bien de personnes décédées après avoir reçu le vaccin Pfizer.
Mais c’est dès que l’on creuse un peu les causes de décès que cela devient surprenant.
|