Vlad l'empaleur fut le personnage historique le plus étroitement associé à la légende du vampire. Né en 1431, il était le prince d'un royaume ( la Transyvalnie) qui fait partie aujourd'hui de la Roumanie, il portait deux surnoms Tepes, "l'Empaleur" et dragon " le dragon", ce dernier était le nom de son père. Cruel, tyrannique, il dut son infamie non seulement au fait qu'il empalait et démenbrait impitoyablement ses prisonniers, mais aussi parce qu'il tuait nombres de ses propres gens. Les chroniques allemandes qui rapportent son histoire le comparent aux " tyrans les plus sanguinaires de l'histoire, tels que Hérode,Néron et Diocletien". Il tirait une jouissance frénétique de la mort de ses victimes et ce fut cette soif sanguinaire qui inspira à stocker l'histoire de l'aristocrate assoiffé de sang.
Abraham Stocker, qui naquit en 1847 près de Dublin, fut lui même un lecteur passionné de conte fantastiques et particulièrement d'histoires de vampires. Il s'interressait aussi beaucoup à l'occultisme et appartenait à l'ordre de l'Aube d'or, évidemment ésotérique. Ce qui catalysa ses intérêts et fit jaillir l'étincelle créatrice fut une rencontre avec Arminius Vanberry, professeur de langue orientales à l'université de Budapest. Ce fut Vanberry qui raconta l'histoire de Vlad l'Empaleur, le futur Dracula.

Erszebet Bathory: Un autre personnage historique dont les atrocités innommable contribuère à la légende du vampire, quant elle fut traînée devant les tribunaux en 1611, en Hongrie, la barbarie de cette femme de haute naissance fut dévoilée aux yeux de tous. On lui attribua les meurtres de 300 jeunes filles, torturées et puis saignées à mort à coups d'aiguilles de fer; Tous les récits de crime atroces de Bathory rapportent qu'elle buvait le sang de ses victimes et s'y baignaitdans l'illusion que cela entretiendrait sa jeunesse.

cependant , une histoire affolante, en 1722, un jeune soldat serbe, Arnold Paole, rentra de au pays après une campagne en Grèce.Pendant la guerre, il avait été le témoin de choses térribles, et le pire, la vision d'un vampire suceur de sang de ses victime, il rassurat sa fiancée, car il avit trouvé la tombe du vampire et l'avait détruite. Peu de t-emps après son retour dans son village natal de Meduegna, près de Belgrade, Arnold se tua en tombant du haut d'un rocher, quelques jour après sa mort, plusieurs personnes affirmèrent l'avoir vu, et ces témoignages fut trops nombreux pour être ignoré. Plusieurs personnes trouvérent la mort.
Inquiets, les villageois ouvrirent la tombe d'Arnold 40 jours après sa mort.Il découvrirent que son corps était parfaitement préservé, et il avait du sang frais séché au bord des lèvres, Johannes Flickingers, médecin militaire qui tenat le rôle d'expert rapporta: Ils trouvérent qu'il etait entiers et ne montrait aucun signe de décomposition, du sang frais avait coulé de ses yeux,de son nez,de sa bouche et des ses oreilles. Ses vieux ongles de pieds et de mains, ainsi que sa peau, étaient tombés et de nouveaux organes les avaient remplacé. face à de telles preuves, ils conclurent que c'était bel et bien un vrai vampire et lui enfoncèrent unpieu dans le coeur. Le corps émit un grognement distinct et se mit saignée abondamment. Son corps fut brulé avec ceux de quatre personnes dont la mort était lié à Arnold. Flickinger et 2 autres chirurgiens de Belgrade Isaac Seidel et Johann Baumgartner, retournèrent dans le village en 1732 pour parcourir les cimetières locaux, ils trouvérent 15 vampires, des femmes la plupart, elles avaient toutes les joues d'une roseur suspectes et l'air en bonne santé. Cet incident fut à l'origine d'une peur panique des vampire en 1732, lorsqu'un soldat en exercice, le comte de Cadreras, déclara à l'université de Freiburg, qu'il avait exhumé dans un petit village à la frontière austro-hongroise le corps d'un fermier mort 10 ans auparavant et qui parraissait encore en pleine santé.

Voici, une des raisons, qui fait de nos amis les loups une mauvaise réputation.

Description des loups garous

Les loups-garous étaient hommes le jour, crocs et fourrure la nuit, avec un certain goût pour la chair humaine. Selon la tradition, la pleine lune servait de catalyseur à leur transformation. Pour certains hommes, il était impossible d’échapper à leur destin de démon à quatre pattes : ils souffraient de lycanthropie, une maladie héréditaire ou transmise par une morsure de loup. D’autres cherchaient à se métamorphoser en loups-garous à l’aide de charmes et de sortilèges. Il s’agissait là de sorciers dont le corps astral pouvait vagabonder sous la forme d’un loup pendant que le corps humain dormait. On pensait que ces hommes avaient une enveloppe à deux faces : une peau humaine à l’extérieur, un pelage animal à l’intérieur. Dans l’Europe du Moyen Age, la chasse aux loups-garous prit une ampleur équivalente à celle de la chasse aux sorcières. En France, le XVIe siècle à lui seul totalisa près de 30 000 cas. Et pourtant, nul ne parvint jamais à prouver de façon concluante l’existence d’un seul de ces êtres. La raison en était simple : on pensait que les loups-garous reprenaient leur forme humaine lorsqu'ils étaient blessés ou tués.

Des preuves convaincantes

Cependant, un cas qui se produisit vers la fin du XIXe siècle demeure à ce jour inexpliqué. Un professeur d’université d’Oxford, sa femme et un ami avaient loué une maison de vacances dans une région boisée du pays de Galles, près d’un lac. Un jour, le professeur trouva un crâne, qu’il pensa être celui d’un chien, il l’emporta à la maison pour l’examiner. Alors le que le professeur et son ami étaient sortis, la femme entendit un bruit à l’extérieur. Regardant par la fenêtre, elle vit un monstre, mi-homme, mi-bête. Dans the Werewolf, l’écrivain Montague Summers décrit les événements. " Ses mâchoires haletantes et béantes découvraient des dents acérées ; ses pattes poilues agrippaient le rebord de la fenêtre comme des mains ; ses yeux rougeoyaient d’une lueur terrifiante. A demi évanouie de peur, elle courut vers la porte d’entrée et ferma le verrou. Quelques instants plus tard, elle entendit une respiration lourde et le loquet bringuebaler dangereusement. Les minutes qui suivirent furent remplies d’une vive tension. De temps en temps, un grognement féroce et grave passait à travers la porte ou la fenêtre, puis des bruits retentissaient comme si la créature essayait de forcer l’entrée. " Lorsque les deux hommes arrivèrent, la femme s’évanouit. Ils passèrent la nuit à attendre le retour de la créature. Soudain, la tête d’un loup au regard d’homme apparut à l’extérieur, ils le poursuivirent armés de bâtons et d’un fusil, mais la créature réussit à s’enfuir vers le lac. Le lendemain, le professeur prit le crâne qu’il avait rapporté et le jeta dans le lac. Après cela, la créature ne les dérangea plus jamais.

Alors ne confondez pas.......